Vous avez peut-être remarqué à droite de ce blog, le blogroll des blogs pour la Vie. Pour faire simple : la liste de tous les blogs qui ont affiché l'image blog pour la Vie. C'est l'occasion de se réjouir au passage du nombre croissant des blogs qui affichent ouvertement leur volonté de protéger la Vie. Nous sommes désormais 35! Le principe du blogroll est assez répandu aux Etats-Unis : ils consiste à afficher sur son propre blog le ou les blogroll auxquels on adhère. Il suffit juste de copier un code dans le modèle de votre blog.
Voici donc, pour ceux que cela pourrait intéresser, histoire de tisser un réseau qui peut toujours s'avérer utile (seuls le Blog pour la Vie, et le Blog Fils de Chrétienté affichent le Blogroll pour l'instant), le code du blogroll "Blog pour la Vie" :
30 avr. 2006
Novopress : Agression de deux chrétiens pro-vie
..., comprennez de deux chrétiens, tout simplement !
LYON (NOVOpress) - Le samedi 22 avril, en marge d’un rassemblement pro-vie devant l’hôpital de l’Hôtel- Dieu, deux manifestants chrétiens ont été agressés par une quinzaine de personnes venues pour « casser du Fachos ». Les deux pro-vies ont été violemment frappées à coups de barre de fer, occasionnant des plaies importantes. La police pourtant présente en nombre n’est pas intervenue pour interpeller les agresseurs, les deux victimes attendent une semaine après les faits l’avancée de l’enquête et les suites judiciaires qui seront données.
Notre petit doigt nous dit qu'ils vont pouvoir attendre longtemps! Qu'attendre d'un pays qui tue ses enfants et ses vieux? Une justice sans balance, avec un glaive brisé, et le bandeau relevé : mieux vaut regarder quand on s'approche d'un précipice.
LYON (NOVOpress) - Le samedi 22 avril, en marge d’un rassemblement pro-vie devant l’hôpital de l’Hôtel- Dieu, deux manifestants chrétiens ont été agressés par une quinzaine de personnes venues pour « casser du Fachos ». Les deux pro-vies ont été violemment frappées à coups de barre de fer, occasionnant des plaies importantes. La police pourtant présente en nombre n’est pas intervenue pour interpeller les agresseurs, les deux victimes attendent une semaine après les faits l’avancée de l’enquête et les suites judiciaires qui seront données.
Notre petit doigt nous dit qu'ils vont pouvoir attendre longtemps! Qu'attendre d'un pays qui tue ses enfants et ses vieux? Une justice sans balance, avec un glaive brisé, et le bandeau relevé : mieux vaut regarder quand on s'approche d'un précipice.
Avortement : Témoignage de femmes - 5 -
"Pour moi dans ces avortements, on est passé de l’horreur de la clandestinité, de la faute, à quelque chose de médicalisé mais tout à fait horrible... Pour moi, c’est une vie, un bébé, un être humain qui meurt. Cela vous fait peut-être mal au coeur d’écraser un bourgeon de fleur. C’est une vie et c’est quand on a des enfants qu’on en est conscient."
Odette - 50 ans - 2 enfants - 4 avortements
Source : Biba (Via Chrétienté.info)
Odette - 50 ans - 2 enfants - 4 avortements
Source : Biba (Via Chrétienté.info)
26 avr. 2006
Une étude et non un document sur le préservatif
A ceux qui s'interrogeraient sur les commentaires des journalistes à propos des déclarations du Cardinal Martini, voilà la position de Rome.
Le Saint Siège prépare actuellement une étude sur le préservatif et le Sida, et non un document comme l'ont annoncé les médias. Le cardinal Javier Lozano Barragán, président du Conseil pontifical pour la Pastorale de la Santé, a expliqué que cette étude, (qui fera ou non l'objet d'un document, le pape ou celui à qui il confierait cette tâche étant seul compétent pour cela), est plus précisement axée sur les couple dont l'un des deux conjoints est atteints du sida.
Cette étude, confiée à des médecins, des théologiens et des experts, s'interroge sur le caractère licite du préservatif pour sauver une vie.
Demandée par Jean-Paul II et réalisée sous Benoît XVI , elle s'appuie sur des considérations techniques (l'efficacité de telles mesures) et morales: le respect de tout être humain.
Le Saint Siège prépare actuellement une étude sur le préservatif et le Sida, et non un document comme l'ont annoncé les médias. Le cardinal Javier Lozano Barragán, président du Conseil pontifical pour la Pastorale de la Santé, a expliqué que cette étude, (qui fera ou non l'objet d'un document, le pape ou celui à qui il confierait cette tâche étant seul compétent pour cela), est plus précisement axée sur les couple dont l'un des deux conjoints est atteints du sida.
Cette étude, confiée à des médecins, des théologiens et des experts, s'interroge sur le caractère licite du préservatif pour sauver une vie.
Demandée par Jean-Paul II et réalisée sous Benoît XVI , elle s'appuie sur des considérations techniques (l'efficacité de telles mesures) et morales: le respect de tout être humain.
25 avr. 2006
Veillée pour la Vie
23 avr. 2006
Course pour la Vie à Paris
10ème édition de la Course pour la Vie Le 29 avril 2006, près de la Cathédrale Notre-Dame de Paris, à l'occasion de la 16ème Journée mondiale pour la Vie, organisée par le Comité pour sauver l'enfant à naître.
Afin que la sécurité des coureurs puisse être assurée, l'organisateur recherche 20 signaleurs aux intersections. Si vous désirez être volontaire, appelez ce numéro : 01.48.73.53.65
Afin que la sécurité des coureurs puisse être assurée, l'organisateur recherche 20 signaleurs aux intersections. Si vous désirez être volontaire, appelez ce numéro : 01.48.73.53.65
22 avr. 2006
Cardinal Martini : on parle enfin de la Vie dans la presse !
Aucun journal n'aura raté l'"affaire" du pauvre cardinal jésuite (pauvre Saint-Ignace !). Le Salon Beige l'a suivie, et en profite pour rappeler le contenue de l'enseignement de l'Eglise. Mais il est troublant d'observer la large couverture faite de ces propos par la presse, comme si elle attendait la faille où pourraient s'engouffrer sa tyrannie uniforme et mortifère : Le Figaro, L'Express, Libération, Challenges, Nouvel Observateur... Quelle tribune pour un sujet aussi dangereux ! Et voilà qu'on le donne en pâture à de pauvres lecteurs convaincus -et parfois à juste titre- de l'honnêteté des journalistes, fidèles rapporteurs du réel. Mais y-a-t-il d'autres média que Zénit et le Salon Beige pour reprendre chaque jour les mots du pape, ou de tous les cardinaux et évêques qui condamnent la culture de mort et publient sans relâche l'Evangile de la Vie ? Non. Et c'est même de notre faute...: "Si vous êtes ce que vous devez être, vous mettrez le feu au monde entier !" (Message adressé aux jeunes par Jean-Paul II)
16eme Journée Mondiale pour la Vie
Le 29 avril 2006... Un espoir pour lui ?
A noter : il y a plusieurs journées mondiales pour la Vie organisées ! Allez savoir s'il y en a une plus officielle que l'autre... Une initiative toutefois ici, organisée par le Comité pour Sauver l'Enfant à Naître avec une course pour la Vie à Paris. [rens.: 01.48.73.53.65] De plus amples renseignements viendront.
Avortement : Témoignage de femmes - 4 -
"Je me suis faite plus facilement à l’idée d’être enceinte qu’à l’inverse. J’ai eu la sensation, après coup, d’avoir pris ma décision sous l’effet de la panique."
Natacha
Source : L’Humanité (via Chrétienté.info)
Natacha
Source : L’Humanité (via Chrétienté.info)
17 avr. 2006
Pâques: les chrétiens allemands célèbrent la vie
Les représentants des chrétiens allemands ont célébré la vie et l'amour du prochain, dimanche dans leurs omélies de Pâques, condamnant l'avortement et l'euthanasie, selon tageblatt.
Le cardinal-archevêque de Mayence, Karl Lehmann (néamoins partisan d'une conception plutôt bizarre de la morale), a exhorté les chrétiens à »renforcer leur confiance dans la vie» et reconnaître la mort comme »le dernier ennemi de l'homme». La vie ne peut être prolongée indéfiniment malgré les nombreuses aides que sont les médicaments et les soins, a dit le président de la conférence épiscopale allemande (catholiques), évoquant la »fin irrévocable» de la vie.
Une société »qui minimise la gravité de l'avortement ou qui parle ouvertement de tuer des malades ou des vieillards est une société qui perd pied», a estimé l'évêque catholique de Trêves, Reinhard Marx.
Lire l'article complet
Le cardinal-archevêque de Mayence, Karl Lehmann (néamoins partisan d'une conception plutôt bizarre de la morale), a exhorté les chrétiens à »renforcer leur confiance dans la vie» et reconnaître la mort comme »le dernier ennemi de l'homme». La vie ne peut être prolongée indéfiniment malgré les nombreuses aides que sont les médicaments et les soins, a dit le président de la conférence épiscopale allemande (catholiques), évoquant la »fin irrévocable» de la vie.
Une société »qui minimise la gravité de l'avortement ou qui parle ouvertement de tuer des malades ou des vieillards est une société qui perd pied», a estimé l'évêque catholique de Trêves, Reinhard Marx.
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16 avr. 2006
Quelle Espérance ?
Bref retour dans le monde, après quelques jours d'isolement. Quel désastre que ce règne éclatant de la couardise, du mensonge, de la haine de la Vérité, du rejet du Beau, du cynisme, de ce dégoût de la Sainteté, de la mesquinerie, de l'exclusion des pauvres et des faibles, des larmes de supermarché, de la perversion des enfants, de l'homo tourismus, de la mort, du plaisir égoïste, de notre propre faiblesse face au mal, de la vieillesse de l'âme...! Vision brutale que celle de ce triste monde, à en soulever le coeur.
C'est presque sans espoir. Et que pouvons nous faire? Rien. Mais nous n'avons aussi rien à perdre! Que faire? Nul ne le sait, mais il faut le faire. Un indice peut-être, cet appel aux jeunes de Jean-Paul II :
"Si vous êtes ce que vous devez être, vous mettrez le feu au monde entier !"
Sainte fête de Pâques !
C'est presque sans espoir. Et que pouvons nous faire? Rien. Mais nous n'avons aussi rien à perdre! Que faire? Nul ne le sait, mais il faut le faire. Un indice peut-être, cet appel aux jeunes de Jean-Paul II :
"Si vous êtes ce que vous devez être, vous mettrez le feu au monde entier !"
Sainte fête de Pâques !
Les principales méthodes d'avortement...
Un répit dans les révisions en ce jour béni de Pâques pour vous faire part de ce lien, énumérant et décrivant les principales méthodes d'avortement. Merci à Laissez-les-Vivre.
Exemples : aspiration
Pratiquée sous anesthésie, cette méthode est la plus généralement utilisée en France (50 % des cas).Le col de l'utérus est dilaté est dilaté de 2 bons centimètres au moyen de dilateurs gradués dits "bougies", allant de calibres très petits à très gros jusqu'à permettre le passage d'un tube flexible relié à une pompe sous vide qui dissèque l'enfant... Voir les autres méthodes (images dures...)
Exemples : aspiration
Pratiquée sous anesthésie, cette méthode est la plus généralement utilisée en France (50 % des cas).Le col de l'utérus est dilaté est dilaté de 2 bons centimètres au moyen de dilateurs gradués dits "bougies", allant de calibres très petits à très gros jusqu'à permettre le passage d'un tube flexible relié à une pompe sous vide qui dissèque l'enfant... Voir les autres méthodes (images dures...)
14 avr. 2006
La vérité sur le procès de Bobigny
Le lundi 3 avril dernier, France 2 diffusait une réinterprétation du procés du Bobigny.
L’association CHOISIR LA VIE considère que les téléspectateurs ont été trompés sur la réalité des faits relatés par ce programme.
Voyez par vous-même : Communiqué de presse sur le procés Bobigny.
L’association CHOISIR LA VIE considère que les téléspectateurs ont été trompés sur la réalité des faits relatés par ce programme.
Voyez par vous-même : Communiqué de presse sur le procés Bobigny.
12 avr. 2006
Site pour la vie
Voici une adresse que nous ne saurions trop vous conseiller si vous vous trouver en situation de détresse :
Mère de Miséricorde France est une association de loi 1901, fondée en 1982 par des membres de la communauté des Béatitudes et reconnue comme « Association privée de fidèles de droit diocésain » par le diocèse du lieu de fondation (Albi).
L’objectif de Mère de Miséricorde est de se mettre au service d’une vie humaine menacée dans sa dignité ou son intégrité (« depuis son commencement jusqu’à son terme naturel »), selon un appel personnel de compassion chrétienne, et de Miséricorde divine.
Leur action est multiple et s'adresse à tous les blessés de la vie.
Mère de Miséricorde France est une association de loi 1901, fondée en 1982 par des membres de la communauté des Béatitudes et reconnue comme « Association privée de fidèles de droit diocésain » par le diocèse du lieu de fondation (Albi).
L’objectif de Mère de Miséricorde est de se mettre au service d’une vie humaine menacée dans sa dignité ou son intégrité (« depuis son commencement jusqu’à son terme naturel »), selon un appel personnel de compassion chrétienne, et de Miséricorde divine.
Leur action est multiple et s'adresse à tous les blessés de la vie.
11 avr. 2006
Loi du 22 avril 2005
Emmanuel Hirsch, directeur de l'Espace éthique/AP-HP et du département de recherche en éthique, université Paris-Sud-XI, revient dans Le Figaro, sur la loi du 22 avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie.
Il explique que c'est le juste soin ou la justesse des pratiques qui incite à bien définir une position de respect et de mesure à l'égard des personnes en fin de vie et de leurs familles.
Selon lui, cette loi permet d'assumer un engagement au service des personne en fin de vie. Reconnaître la dignité du patient, exige donc de "prendre en compte sa volonté, ses choix, qu'ils soient explicites ou exprimés par un interlocuteur qui lui serait fidèle".
Il est difficile d'idéaliser "la bonne mort" ou "la mort dans la dignité", souligne-t-il, alors que ce qui est important est de pouvoir vivre une existence accompagnée et soutenue jusqu'aux derniers instants.
L'indifférence de notre société à l'égard des personnes âgées ou handicapées et le manque d'accueil ou de suivi de ces personnes vulnérables ne doit pas justifier la "destitution du droit de la personne à vivre encore parmi nous".
Il est important, souligne-t-il, que nous reconnaissions à ces personnes malades une position ou un rôle qui "la confirment dans ses sentiments d'appartenance, d'estime de soi, de considération". Sinon sa mort sociale ne pourra que l'inciter à demander la mort.
Pour Emmanuel Hirsch, il faut tout mettre en oeuvre pour rendre possible une espérance, un projet qui permettent à ces personnes de parvenir au terme de leur cheminement.
"Ce texte de loi a su s'élever au delà du médical pour renouveler notre regard, nos attitudes et plus encore nos responsabilités à l'égard du mourant et de ses proches". (source : généthique)
Il explique que c'est le juste soin ou la justesse des pratiques qui incite à bien définir une position de respect et de mesure à l'égard des personnes en fin de vie et de leurs familles.
Selon lui, cette loi permet d'assumer un engagement au service des personne en fin de vie. Reconnaître la dignité du patient, exige donc de "prendre en compte sa volonté, ses choix, qu'ils soient explicites ou exprimés par un interlocuteur qui lui serait fidèle".
Il est difficile d'idéaliser "la bonne mort" ou "la mort dans la dignité", souligne-t-il, alors que ce qui est important est de pouvoir vivre une existence accompagnée et soutenue jusqu'aux derniers instants.
L'indifférence de notre société à l'égard des personnes âgées ou handicapées et le manque d'accueil ou de suivi de ces personnes vulnérables ne doit pas justifier la "destitution du droit de la personne à vivre encore parmi nous".
Il est important, souligne-t-il, que nous reconnaissions à ces personnes malades une position ou un rôle qui "la confirment dans ses sentiments d'appartenance, d'estime de soi, de considération". Sinon sa mort sociale ne pourra que l'inciter à demander la mort.
Pour Emmanuel Hirsch, il faut tout mettre en oeuvre pour rendre possible une espérance, un projet qui permettent à ces personnes de parvenir au terme de leur cheminement.
"Ce texte de loi a su s'élever au delà du médical pour renouveler notre regard, nos attitudes et plus encore nos responsabilités à l'égard du mourant et de ses proches". (source : généthique)
9 avr. 2006
Débat
Tous les échos ne sont pas les mêmes à propos des altercations qui ont eu lieu entre pro-vie et pro-avortement lors de la manifestation organisée par SOS tout petit à Toulouse. La dépèche du midi stigmatise la violence et le danger de ce ridicule groupuscule (contradiction? si cela ne vous apparait pas flagrant, voyez l'analyse du Conservateur), de l'autre le témoignage d'un participant de la manifestation. Jugez...
Remarque d'un politique
Pompidou a dirigé la France pendant quatre ans, ce que l'on peut considérer comme son testament politique nous dit ceci :
"Or, en même temps que s'instaure ainsi dans les moeurs et les esprits une sorte d'anarchie, l'homme se trouve doté, du fait des découvertes scientifiques, d'une puissance d'action sur les éléments certes, mais aussi sur l'homme, toute nouvelle et démesurée. Le savant, l'ingénieur, le technocrate disposent de moyens colossaux. Ces moyens, pour l'essentiel, se concentrent entre les mains d'un Etat et d'une administration qui encadrent les individus, le mettent en fichent perforées, les désigneront demain par un numéro, déterminant la progression du niveau de vie, les activités souhaitables et leur répartition géographique, prenant en charge l'éducation, l'instruction, la formation professionnelle, bientôt le devoir et le droit de procréation, déjà la durée du travail et des loisirs, l'âge de la retraite, les conditions de la vieillesse, le traitement des maladies. Ainsi, au moment même où l'individu se sent et se rend libre des contraintes traditionnelles, s'édifie une machine technico-scientifique monstrueuse qui peut réduire ce même individu en esclavage ou le détruire du jour au lendemain."
In Le noeud gordien
"Or, en même temps que s'instaure ainsi dans les moeurs et les esprits une sorte d'anarchie, l'homme se trouve doté, du fait des découvertes scientifiques, d'une puissance d'action sur les éléments certes, mais aussi sur l'homme, toute nouvelle et démesurée. Le savant, l'ingénieur, le technocrate disposent de moyens colossaux. Ces moyens, pour l'essentiel, se concentrent entre les mains d'un Etat et d'une administration qui encadrent les individus, le mettent en fichent perforées, les désigneront demain par un numéro, déterminant la progression du niveau de vie, les activités souhaitables et leur répartition géographique, prenant en charge l'éducation, l'instruction, la formation professionnelle, bientôt le devoir et le droit de procréation, déjà la durée du travail et des loisirs, l'âge de la retraite, les conditions de la vieillesse, le traitement des maladies. Ainsi, au moment même où l'individu se sent et se rend libre des contraintes traditionnelles, s'édifie une machine technico-scientifique monstrueuse qui peut réduire ce même individu en esclavage ou le détruire du jour au lendemain."
In Le noeud gordien
8 avr. 2006
Pensée du professeur Lejeune
"Nous voyons réapparaître ce contresens absolu de vouloir vaincre la maladie en supprimant le malade!
Il faudrait un Molière pour ridiculiser ces gens qui qui discutent gravement autours d'un malade. "Quel est cet impertinent qui ne se laisse pas guérir, qui ose resister à notre art? Supprimons-le! "
La médecine devient folle si elle s'attaque au patient au lieu de lutter contre la maladie. Le patient; il faut toujours de son côté, toujours."
Il faudrait un Molière pour ridiculiser ces gens qui qui discutent gravement autours d'un malade. "Quel est cet impertinent qui ne se laisse pas guérir, qui ose resister à notre art? Supprimons-le! "
La médecine devient folle si elle s'attaque au patient au lieu de lutter contre la maladie. Le patient; il faut toujours de son côté, toujours."
7 avr. 2006
Le prix de la vie ?
Le centre hospitalier de Saint Luc à Montréal a été condamné par la Cour Suprême à verser 45 000 $ à un couple pour "un avortement raté". En mars 1999, Saoudat Batoukaeva se rend à l'hôpital pour avorter, quatre mois plus tard elle accouche de deux garçons nés prématurément.
En réalité, les médecins de l'hôpital, à la lecture des analyses faites après l'avortement, constatent que l'avortement a échoué, que "la femme a présenté une complication extrêmement rare de grossesse persistante".
La patiente ayant déménagé à Toronto, l'hôpital ne parvient pas à la joindre pour la prévenir. D'origine russe, Mme Batoukaeva, en attente d'un statut sur le territoire canadien, parle très mal l'anglais et le français. Elle ne se présente pas à l'examen de contrôle prévu quatre à six semaines après l'intervention.
En juillet 1999, lors d'un examen médical à Toronto, elle apprend qu'elle attend des jumeaux. Deux semaines plus tard, elle accouche de deux garçons. L'un meurt cinq mois après la naissance, l'autre survit et est en bonne santé.
Le couple lance une poursuite contre les médecins et l'hôpital. Le juge de la Cour Suprême tranche : la mère et l'hôpital ont une responsabilité partagée dans cette affaire. Sur les 90 000 $ de dommages estimés, le juge demande à l'hôpital de verser 45 000 $ au couple. (source : généthique.org)
90000$ : serait-ce le prix de la vie?
En réalité, les médecins de l'hôpital, à la lecture des analyses faites après l'avortement, constatent que l'avortement a échoué, que "la femme a présenté une complication extrêmement rare de grossesse persistante".
La patiente ayant déménagé à Toronto, l'hôpital ne parvient pas à la joindre pour la prévenir. D'origine russe, Mme Batoukaeva, en attente d'un statut sur le territoire canadien, parle très mal l'anglais et le français. Elle ne se présente pas à l'examen de contrôle prévu quatre à six semaines après l'intervention.
En juillet 1999, lors d'un examen médical à Toronto, elle apprend qu'elle attend des jumeaux. Deux semaines plus tard, elle accouche de deux garçons. L'un meurt cinq mois après la naissance, l'autre survit et est en bonne santé.
Le couple lance une poursuite contre les médecins et l'hôpital. Le juge de la Cour Suprême tranche : la mère et l'hôpital ont une responsabilité partagée dans cette affaire. Sur les 90 000 $ de dommages estimés, le juge demande à l'hôpital de verser 45 000 $ au couple. (source : généthique.org)
90000$ : serait-ce le prix de la vie?
Le monde s'interroge sur l'euthanasie
Le quotidien, Le Monde, est revenu sur la loi relative aux malades en fin de vie du 22 avril 2005 et estime que beaucoup dénoncent "l'hypocrisie et les faux-semblants de cette loi".
La journaliste Sandrine Blanchard, interroge "comment la loi peut-elle, d'un côté, réaffirmer le respect et la dignité du malade, lui donner le droit de "refuser tout traitement", introduire les directives anticipées, autoriser le médecin à soulager la douleur au risque d'abréger la vie, refuser toute obstination déraisonnable et, de l'autre prôner uniquement le "laisser mourir"?".
Elle regrette, ce qu'elle considère comme le paradoxe de cette version française de la prise en charge de la fin de vie où sans en définir les modalités, le patient a le droit de dire "je refuse tout traitement" et le médecin a le devoir de "soulager la souffrance". Elle regrette enfin, que ces directives ne tiennent pas compte des patients "hors d'état d'exprimer leur volonté".
Parmi ceux qui soutiennent l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), certains comparent le combat en faveur d'une "mort choisie" à celui de l'avortement : "nous nous sommes battus pour l'interruption volontaire de grossesse, pour que les femmes soient maîtres de leur corps, cette fois nous nous battons pour que l'être humain soit maître de sa vie jusqu'au bout", a expliqué Nadine Trintignant lors du 25ème anniversaire de l'ADMD.
Henriette Martinez, député UMP et adhérente à l'ADMD a expliqué de son côté que "la loi d'avril 2005 est une souffrance inutile". "Il reste 2 grands verrous à faire sauter : le monde médical et la religion", a-t-elle ajouté.
Et comment... le monde médical et la religion sont bien les deux premières institution à connaître le prix de la vie et à en défendre le caractère sacré... Nous avons perdu la bataille de l'avortement et depuis 7 millions d'enfants en 30 ans l'ont payé, ne nous laissons pas une seconde fois déborder par de pseudo explications humanistes et réaffirmons notre attachement à la vie.
La journaliste Sandrine Blanchard, interroge "comment la loi peut-elle, d'un côté, réaffirmer le respect et la dignité du malade, lui donner le droit de "refuser tout traitement", introduire les directives anticipées, autoriser le médecin à soulager la douleur au risque d'abréger la vie, refuser toute obstination déraisonnable et, de l'autre prôner uniquement le "laisser mourir"?".
Elle regrette, ce qu'elle considère comme le paradoxe de cette version française de la prise en charge de la fin de vie où sans en définir les modalités, le patient a le droit de dire "je refuse tout traitement" et le médecin a le devoir de "soulager la souffrance". Elle regrette enfin, que ces directives ne tiennent pas compte des patients "hors d'état d'exprimer leur volonté".
Parmi ceux qui soutiennent l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), certains comparent le combat en faveur d'une "mort choisie" à celui de l'avortement : "nous nous sommes battus pour l'interruption volontaire de grossesse, pour que les femmes soient maîtres de leur corps, cette fois nous nous battons pour que l'être humain soit maître de sa vie jusqu'au bout", a expliqué Nadine Trintignant lors du 25ème anniversaire de l'ADMD.
Henriette Martinez, député UMP et adhérente à l'ADMD a expliqué de son côté que "la loi d'avril 2005 est une souffrance inutile". "Il reste 2 grands verrous à faire sauter : le monde médical et la religion", a-t-elle ajouté.
Et comment... le monde médical et la religion sont bien les deux premières institution à connaître le prix de la vie et à en défendre le caractère sacré... Nous avons perdu la bataille de l'avortement et depuis 7 millions d'enfants en 30 ans l'ont payé, ne nous laissons pas une seconde fois déborder par de pseudo explications humanistes et réaffirmons notre attachement à la vie.
5 avr. 2006
I will come back!
Je suis Bartalin dans ses adieux temporaires au BPLV. Nous allons préparer nos concours et vous demandons donc de prier pour nous. Une absence, rassurez-vous, qui ne devrait durer que quelques semaines!
Nous laissons le blog entre de bonnes mains avec Agnès et Demosthène cependant.
Nous laissons le blog entre de bonnes mains avec Agnès et Demosthène cependant.
Pensée du professeur Jérôme Lejeune, découvreur de la trysomie 21
"La vie a une très longue histoire mais chacun de nous a un début très précis, le moment de la conception."
L'Eglise orthodoxe russe rejette l'euthanasie et l'homosexualité
L'Eglise orthodoxe russe s'oppose aux tentatives de qualifier l'euthanasie et l'homosexualité de phénomènes normaux, a déclaré mardi le métropolite Cyrille de Smolensk et de Kaliningrad, dans un discours lors du 10e Concile mondial du peuple russe à Moscou.
"D'après nous, les libertés et les droits doivent être en harmonie avec les intérêts de la société", a ajouté le dignitaire religieux, ajoutant que la législation devait consacrer les normes morales partagées par la majorité de la population.
"Depuis Rousseau, le monde occidental s'obstine à croire qu'il suffit de donner à l'homme la liberté pour qu'il définisse lui-même les normes morales de son comportement. La notion d'autorité et celle de péché s'effacent dans cette idéologie au profit du pluralisme", a résumé le métropolite Cyrille.
"D'après nous, les libertés et les droits doivent être en harmonie avec les intérêts de la société", a ajouté le dignitaire religieux, ajoutant que la législation devait consacrer les normes morales partagées par la majorité de la population.
"Depuis Rousseau, le monde occidental s'obstine à croire qu'il suffit de donner à l'homme la liberté pour qu'il définisse lui-même les normes morales de son comportement. La notion d'autorité et celle de péché s'effacent dans cette idéologie au profit du pluralisme", a résumé le métropolite Cyrille.
Euthanasie en Belgique
Selon un quotidien belge, les socialistes flamands veulent étendre l'euthanasie aux enfants après l'avoir prônée pour les personnes démentes. La loi qui pour l'heure ne s'étend qu'aux adultes consentants serait applicable chez des "mineurs capables de discernement"... et pour les autres (les non capables de choisir un suicide assisté), la décision reviendrait aux parents, lesquels devront s'engager par écrit.
Cette proposition hautement humaniste : Pour les deux sénatrices à l'origine de la proposition , les souffrances, qui justifient dans la loi l'euthanasie chez un adulte, ne sont pas différentes de celles que subissent les mineurs.
A quand la loi qui nous permettra au nom de la souffrance de ceux que nous aimons, (ou que nous aimons moins), d'éliminer tous ceux qui contribuent à perturber notre petit quotidien?
Cette proposition hautement humaniste : Pour les deux sénatrices à l'origine de la proposition , les souffrances, qui justifient dans la loi l'euthanasie chez un adulte, ne sont pas différentes de celles que subissent les mineurs.
A quand la loi qui nous permettra au nom de la souffrance de ceux que nous aimons, (ou que nous aimons moins), d'éliminer tous ceux qui contribuent à perturber notre petit quotidien?
4 avr. 2006
Avortement en Inde, les réactions se poursuivent
Nous vous avions parlé de la condamnation de ce médecin en Inde pour avoir incité à un avortement d'après le sexe de l'enfant, depuis les réactions se succèdent :
Pour la première fois en Inde, un médecin a été condamné à une peine de prison pour avoir révélé à une mère qu'elle attendait une fille et l'avoir encouragé à avorter. Le docteur Anil Sabsani a été condamné à 2 ans d'emprisonnement et il devra payer avec son assistant une amende de 5000 roupies (104 euros). Lors de la consultation, le docteur Sabsani avait proposé à la femme de lui révéler le sexe de son bébé pour 1500 roupies de plus. Les avortements sont légaux en Inde sauf ceux effectués pour choix du sexe du bébé. Depuis l'arrivée des échographies, la loi interdit de révéler le sexe du futur bébé pour éviter les avortements des foetus féminins.
La condamnation du médecin a été particulièrement bien accueillie par les organisations de défense des droits de la femme qui combattent ces pratiques : "ce verdict est un grand encouragement pour tous ceux qui luttent pour sauver les bébés filles et défendent les femmes", affirme Nidhi Chugh, de l'organisation non gouvernementale Saheli, qui travaille dans les zones rurales du nord de l'Inde. "Cela va aider des gens comme nous à travailler avec plus de confiance et je suis sûre que les médecins vont réfléchir à 2 fois avant d'encourager l'avortement d'un foetus féminin", a-t-elle ajouté.
Ranjana Kumari du Centre de recherche social estime, quant à elle, que ce jugement n'est pas assez sévère car cet avortement s'apparente à un crime.
Cf. Zenith
Pour savoir où l'on va, il nous faut savoir qui nous sommes...
L'être humain n’est pas à « sacrifier aux succès de la science et de la technique »(ZENIT.org) Dans un mesage aux participants du séminaire organisé par la Congrégation pour l'Education Catholique sur le thème : « L’héritage culturel et les valeurs académiques de l’université européenne et le caractère attractif de l’espace européen d’instruction supérieure », le pape a diagnostiqué la question « anthropologique » qui se manifeste dans la crise actuelle de l’Europe en disant : « Il s'agit de définir la conception de l'être humain qui est à la base des nouveaux projets ».
Il interrogeait dans ce sens : « Au service de quel homme veut être l'université, d'une personne confinée dans la défense de ses seuls intérêts ou d'une personne ouverte à la solidarité avec les autres, dans la recherche du vrai sens de l'existence ? »Le pape recommandait de s’interroger sur « la relation entre la personne humaine, la science et la technique, en tenant compte du développement technologique de ce début de siècle ».
« Il faut répéter avec force que l'être humain ne doit pas être sacrifié aux succès de la science et de la technique ».
Si nous voulons construire l'avenir, nous avons le devoir de nous interroger sur ses bases et les valeurs de celles-ci.
Il interrogeait dans ce sens : « Au service de quel homme veut être l'université, d'une personne confinée dans la défense de ses seuls intérêts ou d'une personne ouverte à la solidarité avec les autres, dans la recherche du vrai sens de l'existence ? »Le pape recommandait de s’interroger sur « la relation entre la personne humaine, la science et la technique, en tenant compte du développement technologique de ce début de siècle ».
« Il faut répéter avec force que l'être humain ne doit pas être sacrifié aux succès de la science et de la technique ».
Si nous voulons construire l'avenir, nous avons le devoir de nous interroger sur ses bases et les valeurs de celles-ci.
3 avr. 2006
In memoriam
En ce jour, anniversaire du rappel à Dieu du professeur Lejeune, père de la génétique moderne et découvreur de la trisomie 21, nous souhaiterions vous faire part de quelques pensées d'un homme qui a consacré sa vie à ses patients et a toujours affirmé que la médecine se doit s'être au service des plus faibles.
"La génétique humaine se résume à un credo élémentaire qui est celui-ci : Au commencement, il y a un message, ce message est dans la vie, et ce message est la vie. Et si ce message est un message humain, alors cette vie est une vie humaine."
Restez nous fidèles !
Oui le Blog pour la Vie va être moins prolifique que d'habitude. Pour cause de concours (priez pour nous !) et études, le mois d'avril sera plus calme sur le blog. Mais pas de panique, il reste au moins un marin à bord, ou plutôt, une "marine" : Agnès, la dernière venue du BPLV.
L'occasion de rappeler l'utilité de la barre de liens à la droite du blog : agendas pro-vie, notamment, il y en a plusieurs, et les rendez-vous ne manquent pas.
L'occasion aussi de rappeler que ce combat se fait d'abord dans la prière... Car comment croire que par nos seuls efforts, nous rendrons raison à un monde qui marche sur la tête ? Ce serait pur orgueil.
O Marie, aurore du monde nouveau, Mère des vivants, nous te confions la cause de la Vie...
L'occasion de rappeler l'utilité de la barre de liens à la droite du blog : agendas pro-vie, notamment, il y en a plusieurs, et les rendez-vous ne manquent pas.
L'occasion aussi de rappeler que ce combat se fait d'abord dans la prière... Car comment croire que par nos seuls efforts, nous rendrons raison à un monde qui marche sur la tête ? Ce serait pur orgueil.
O Marie, aurore du monde nouveau, Mère des vivants, nous te confions la cause de la Vie...
Messe pour la Vie
L'église Saint Ferdinand des Ternes était bondée ce soir, à 18h30, pour la messe en mémoire du professeur Lejeune, célébrée par Monseigneur Jean Laffitte, vice-président de l'Académie pontificale pour la Vie, Académie dont le Professeur Lejeune a été le premier président. Le prélat n'a pas manqué dans son homélie, de rappeler la coïncidence des deux commémorations du moment, celle de la mort du Professeur, et celle de Jean Paul II, évoquant leur combat commun pour la Vie.
Jean-Marie Le Méné, actuel président de la Fondation Jérôme Lejeune, a affirmé à la fin de la célébration que cette commémoration annuelle était appelée à devenir encore plus chaque année, un vrai rassemblement pour la Vie, et qu'elle est tout autant destinée à la mémoire des milliers de petites victimes de l'avortement.
Jean-Marie Le Méné, actuel président de la Fondation Jérôme Lejeune, a affirmé à la fin de la célébration que cette commémoration annuelle était appelée à devenir encore plus chaque année, un vrai rassemblement pour la Vie, et qu'elle est tout autant destinée à la mémoire des milliers de petites victimes de l'avortement.
Un forum pro-vie
Le Forum de Choisir la Vie. Il est tout nouveau, donc pas encore très actif, mais c'est un outil qui peut s'avérer utile ! Une sorte de plateforme pro-vie, où l'on pourrait mettre en commun des projets enfin efficaces. Car c'est bien ce qui nous manque, l'efficacité.
2 avr. 2006
Petit rappel
Pour les mémoires courtes, n'oubliez pas, demain :
18h30, à St Ferdinand des Ternes, messe en mémoire du professeur Lejeune, occasion, comme chaque année d'un rassemblement spirituel de tous ceux qui s'engagent dans le respect de la "culture de vie".
Ou (Et, pour les courageux...) Conférence du docteur Miribel à Versailles (Eglise sainte Jeanne d'Arc à 20h45) sur le thème : "Euthanasie, acharnement thérapeutique : comment sortir de la confusion ?"
18h30, à St Ferdinand des Ternes, messe en mémoire du professeur Lejeune, occasion, comme chaque année d'un rassemblement spirituel de tous ceux qui s'engagent dans le respect de la "culture de vie".
Ou (Et, pour les courageux...) Conférence du docteur Miribel à Versailles (Eglise sainte Jeanne d'Arc à 20h45) sur le thème : "Euthanasie, acharnement thérapeutique : comment sortir de la confusion ?"
1 avr. 2006
Deux faits divers...
Fait historique titre le monde : En Inde un médecin condamné pour avoir incité une femme à avorter, bien entendu la mort de cet enfant (il s'agissait d'une fille, ce qui a provoqué son élimination, sous la pression sociétale) est passé sous silence - ou presque-: le geste etses conséquences seuls sont évoqués.
Dans le quotidien belge, le soir, un article rapporte la condamnation d'un jeune homme ayant provoqué un avortement par un coup de pied sur le bébé (une petite fille) de son ancienne petite amie, les juges ont parlé "d'extrême gravité des faits", "l'absence totale de prise de conscience", "le manque d'humanité".
Puissent ces "faits divers" ou considérés comme tels, nous faire réfléchir sur le caractère sacré de toute vie humaine, de sa conception à son heure dernière, et nous rappeler l'unicité de chaque être.
Rappel de définitions
Pour défendre ce en quoi on croit, il est nécessaire de savoir de quoi l'on parle, voilà donc quelques "précisions":
Euthanasie : L’euthanasie est une action ou une omission dont l’intention première vise la mort d’un malade pour supprimer la douleur. L’euthanasie est une mort imposée par opposition à la mort naturelle.
Acharnement thérapeutique : Poursuite d’un traitement lourd qui devient disproportionné par rapport au bien qu’en retire le patient. La loi dite Léonetti du 22 avril 2005 préfère parler d’obstination déraisonnable.
La distinction entre l’euthanasie et l’interruption de soins disproportionnés est essentielle. « Le médecin n’a pas le droit de provoquer délibérément la mort » mais il doit « éviter toute obstination déraisonnable dans les investigations ou la thérapeutique » (art. 37 et 38 du code de déontologie médicale). Au lieu de maintenir un traitement qui a fait la preuve de son inefficacité, le médecin doit tout faire pour permettre au malade l’accès à des soins palliatifs.
Soins palliatifs : Accompagner le malade et utiliser des antalgiques pour soulager la douleur, même si cela consiste à prendre des risques parfois mortels. Le but n’est pas ici de donner la mort au patient.
Euthanasie active/passive : La distinction entre euthanasie active et euthanasie passive n’a pas lieu d’être et fausse le débat. Soit il y a euthanasie par action ou omission (en injectant un produit létal ou en s'abstenant d’administrer un traitement utile), c’est-à-dire volonté de mettre un terme à la vie du patient, soit il y a volonté d’accompagner le patient en atténuant ses souffrances (en arrêtant l’acharnement thérapeutique pour passer aux soins palliatifs).
Voir lettre mensuelle de ce site
Il ne saurait donc il y avoir d'"euthanasie d'exception" : la formule est un non sens, un doux euphémisme pour s'arroger un pouvoir illégitime sur la vie humaine. (Rappelons-nous que la loi sur l'avortement était également destinée à couvrir des "situations d'exception").
Pour une plus juste appréhension des choses, n'oubliez pas la conférence du docteur Miribel lundi soir à Versailles.
Euthanasie : L’euthanasie est une action ou une omission dont l’intention première vise la mort d’un malade pour supprimer la douleur. L’euthanasie est une mort imposée par opposition à la mort naturelle.
Acharnement thérapeutique : Poursuite d’un traitement lourd qui devient disproportionné par rapport au bien qu’en retire le patient. La loi dite Léonetti du 22 avril 2005 préfère parler d’obstination déraisonnable.
La distinction entre l’euthanasie et l’interruption de soins disproportionnés est essentielle. « Le médecin n’a pas le droit de provoquer délibérément la mort » mais il doit « éviter toute obstination déraisonnable dans les investigations ou la thérapeutique » (art. 37 et 38 du code de déontologie médicale). Au lieu de maintenir un traitement qui a fait la preuve de son inefficacité, le médecin doit tout faire pour permettre au malade l’accès à des soins palliatifs.
Soins palliatifs : Accompagner le malade et utiliser des antalgiques pour soulager la douleur, même si cela consiste à prendre des risques parfois mortels. Le but n’est pas ici de donner la mort au patient.
Euthanasie active/passive : La distinction entre euthanasie active et euthanasie passive n’a pas lieu d’être et fausse le débat. Soit il y a euthanasie par action ou omission (en injectant un produit létal ou en s'abstenant d’administrer un traitement utile), c’est-à-dire volonté de mettre un terme à la vie du patient, soit il y a volonté d’accompagner le patient en atténuant ses souffrances (en arrêtant l’acharnement thérapeutique pour passer aux soins palliatifs).
Voir lettre mensuelle de ce site
Il ne saurait donc il y avoir d'"euthanasie d'exception" : la formule est un non sens, un doux euphémisme pour s'arroger un pouvoir illégitime sur la vie humaine. (Rappelons-nous que la loi sur l'avortement était également destinée à couvrir des "situations d'exception").
Pour une plus juste appréhension des choses, n'oubliez pas la conférence du docteur Miribel lundi soir à Versailles.
Rosaire pour la Vie aujourd'hui samedi 1er avril
Comme tous les premiers samedis du mois, rendez-vous donc samedi 1er avril 2006 à 17 h dans votre cathédrale, et pour Paris à 16 h 15 à Notre-Dame en la Chapelle du Saint-Sacrement (tout au fond). Pour plus d'informations voir ici ou ici.
En effet, le combat pour la Vie ne peut se mener qu'à l'aide de la prière. Comment aurions nous l'orgueil de croire que seuls nous pouvons changer le monde ? Mais par contre : "En vérité je vous le dis, si vous avez de la foi comme un grain de moutarde, vous direz à cette montagne : Transporte-toi d’ici là, et elle se transportera ; rien ne vous sera impossible. " Dans cette prière du rosaire, nous demandons cette Foi à Marie, ainsi que l'Espérance, dans cette lutte qui semble sans espoir, et la Charité, pour savoir toucher les coeurs, et les mener à la Vie !
En effet, le combat pour la Vie ne peut se mener qu'à l'aide de la prière. Comment aurions nous l'orgueil de croire que seuls nous pouvons changer le monde ? Mais par contre : "En vérité je vous le dis, si vous avez de la foi comme un grain de moutarde, vous direz à cette montagne : Transporte-toi d’ici là, et elle se transportera ; rien ne vous sera impossible. " Dans cette prière du rosaire, nous demandons cette Foi à Marie, ainsi que l'Espérance, dans cette lutte qui semble sans espoir, et la Charité, pour savoir toucher les coeurs, et les mener à la Vie !
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