Il y a quelques jours a eu lieu une marche massive dans la ville de Sucre, en Bolivie, pour la défense de la vie et de la famille et contre les propositions qui prétendent légaliser l’avortement dans la nouvelle Constitution. Environ 20 000 personnes dont des pères et des mères de famille, des jeunes de centres éducatifs et des autorités de l’Eglise ont participé à la marche qui a été organisée par l’Eglise catholique et l’Eglise évangélique, en plus de la Préfecture de Chuquisaca et d’autres institutions.
L'archevêque de Sucre, Mgr. Jesús Pérez Rodríguez, dans son discours tenu sur la Place le 25 mai, a affirmé que "la multitude qui a participé à la marche l’a faite de manière volontaire et sans différence de religion, au nom du Seigneur de la Vie, et cette vie, nous voulons la défendre depuis sa conception jusqu’à la mort naturelle”.
A la fin de la marche, le Comité Inter-institutionnel a affirmé que "la science n’a pas absolument réussi à démontrer que la vie ne commence pas dès la conception, c’est pourquoi généralement les lois pénalisent l’avortement dans la plupart des Etats du monde ".