L'Institut de politique familiale (IPF) ainsi que 17 autres organisations toutes avec des statuts consultatifs à l’ONU, ont présenté un rapport lors de la 51e session de la Commission sur la situation de la femme, qui a eu lieu aux Nations Unies du 26 février au 10 mars, sur la situation des petites filles dans les différents pays du monde, pour demander l’urgente élimination de la violence et de la discrimination contre les petites filles par l’avortement sélectif. L’Agence Fides a posé quelques questions à Lola Velarde, président du Réseau européen de l’IPF.
Extrait : [...] Pour donner un chiffre, en ce moment dans le monde il y a environ 100 millions de femmes en moins à cause de l’infanticide sélectif et de l’avortements des petites filles. L’avortement sélectif devient une nouvelle forme, plus silencieuse, d’infanticide. Dans les pays où avoir une fille est considéré parfois même comme une malédiction pour des questions sociales, économiques, culturelles, politiques ou par traditions, on les laisse mourir, ou, avec les nouvelles techniques permettant de découvrir le sexe, elles sont avortées avant de naître.
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