Ne pas se résigner à ce terrible choix, c’est ce qu’entend faire l’équipe de la KUL : « Alors qu’on déconseille une aspirine à la femme enceinte, le fait de lui dire qu’elle peut, dans certaines conditions, subir une chimio et poursuivre sa grossesse est un message fort. Les résultats les plus récents sont plutôt rassurants sur ce point. Mais nous manquons de données approfondies sur le devenir des enfants. Certes, ils semblent nés sans séquelles, mais cela reste-t-il vrai lors de leur développement, après un ou deux ans ? », explique le professeur Amant. Plusieurs études ont montré qu’une chimio après les douze premières semaines et la formation des organes n’était pas nocive à coup sûr pour le bébé.
Lu sur lesoir.be
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