"Dans une Chine qui pratique la politique de l'enfant unique, des responsables du planning familial usent de tous les moyens pour remplir leurs objectifs. Mais les Chinois parlent de plus en plus, comme Yang et Jin, un couple qui ne s'est jamais remis d'un avortement forcé il y a sept ans et a fini par porter plainte.
A l'époque, Yang Zhongchen, un petit commerçant, avait invité à dîner trois représentants des autorités pour obtenir l'autorisation de devenir père. Mais quelques semaines avant la date de l'accouchement, son épouse a été emmenée de force dans une clinique, où, dit-elle, son bébé encore en elle a été tué par injection.
"Plusieurs personnes m'ont tenue, ils ont arraché mes vêtements et le docteur m'a enfoncé une grande aiguille dans le ventre", raconte Jin Yani, jeune femme timide et menue. "C'était très douloureux."
Sept ans après la mort de son bébé, extrait ensuite de son corps avec des forceps, Jin reste traumatisée. Selon un médecin, elle ne peut plus avoir d'enfant. Le couple a fait le tour des administrations pour demander réparation, en vain."
A l'époque, Yang Zhongchen, un petit commerçant, avait invité à dîner trois représentants des autorités pour obtenir l'autorisation de devenir père. Mais quelques semaines avant la date de l'accouchement, son épouse a été emmenée de force dans une clinique, où, dit-elle, son bébé encore en elle a été tué par injection.
"Plusieurs personnes m'ont tenue, ils ont arraché mes vêtements et le docteur m'a enfoncé une grande aiguille dans le ventre", raconte Jin Yani, jeune femme timide et menue. "C'était très douloureux."
Sept ans après la mort de son bébé, extrait ensuite de son corps avec des forceps, Jin reste traumatisée. Selon un médecin, elle ne peut plus avoir d'enfant. Le couple a fait le tour des administrations pour demander réparation, en vain."
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire