
Les Evêques affirment que ces mutilations, réalisées sur un organe sain, “ne sont pas thérapeutiques et leur légalisation constitue une violation du droit de l’homme à l’intégrité corporelle, en tombant ainsi dans une inconstitutionnalité infranchissable". “On dit que ce projet cherche à répondre aux besoins présumés des secteurs les plus indigents" poursuit le communiqué, cependant, la réalité est très différente. Il s’agit plutôt d’ “une forme de discrimination envers les plus pauvres, étant donné que la stérilisation ne résout pas la pauvreté, mais se limite à entraver les nouvelles naissances".
Les évêques concluent par un appel à tous les citoyens afin qu’ils cherchent “des solutions non mutilatrices mais des voies de solidarité et de promotion humaine, qui soient des instruments utiles pour travailler pour le bien commun et le développement des personnes et des familles, en respectant la dignité et l’intégrité de l’être humain".
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