Piergiorgio Welby, promoteur actif de l'euthanasie en Italie, est mort assassiné. Prions pour le salut de son âme ainsi que pour l'échec de la récupération de cette affaire par les partisans de la culture de mort...
2 commentaires:
Anonyme
a dit…
Sans vouloir polémiquer là dessus mais n'avez vous pas l'impression que c'est vous qui récupérez cette affaire. N'êtes vous donc pas assez "humain" pour comprendre et admettre qu'une personne souffre tellement et depuis si longtemps peut vouloir abréger ses souffrances et la souffrance des siens de le voir ainsi... ou est ce au nom d'une pseudo religion que vous parlez ainsi. On peut être pour la vie mais pas pour la souffrance inutile
Si nous parlons de récupération, c'est que cette affaire est déjà très médiatisée et a été reprise, suite aux démarches faites par Mr Welby de son vivant, par la sphère politique, elle constitue de fait un précédent... La souffrance d'un être est digne de toutes les compassions, et ce d'autant plus s'il s'agit d'un être qui nous est cher. Mais la compassion et l'amour, un amour vrai, pas une fausse pitié, impliquent d'accompagner et de soulager cette souffrance, non de mettre fin à une vie, en assimilant justement cette vie à ses souffrances si pénibles soient-elles.
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Sans vouloir polémiquer là dessus mais n'avez vous pas l'impression que c'est vous qui récupérez cette affaire. N'êtes vous donc pas assez "humain" pour comprendre et admettre qu'une personne souffre tellement et depuis si longtemps peut vouloir abréger ses souffrances et la souffrance des siens de le voir ainsi... ou est ce au nom d'une pseudo religion que vous parlez ainsi. On peut être pour la vie mais pas pour la souffrance inutile
Si nous parlons de récupération, c'est que cette affaire est déjà très médiatisée et a été reprise, suite aux démarches faites par Mr Welby de son vivant, par la sphère politique, elle constitue de fait un précédent... La souffrance d'un être est digne de toutes les compassions, et ce d'autant plus s'il s'agit d'un être qui nous est cher. Mais la compassion et l'amour, un amour vrai, pas une fausse pitié, impliquent d'accompagner et de soulager cette souffrance, non de mettre fin à une vie, en assimilant justement cette vie à ses souffrances si pénibles soient-elles.
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