"Une vingtaine de militants de l'association anti-avortement "SOS Tout Petits", rassemblés ce matin "pour une prière publique de réparation", devant l'hôpital de la Timone se sont opposés à une centaine de militants pour le droit à l'avortement. Les forces de l'ordre ont dû intervenir pour séparer les deux groupes.
Les contre-manifestants étaient venus à l'appel de syndicats et mouvements féministes "pour défendre le droit à l'IVG", à l'occasion de la Journée de la femme."
La Provence (Article à compléter par la découverte de l'Association Mère de Miséricorde, qui vient en aide aux mères en détresse...)
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1 commentaire:
Bonjour
Il faut être plus précis dans la description. Les forces de l'ordre devraient disperser les contre-manifestants pro-avortement qui ne déclarent pas en préfecture leur action, toujours aggressive et violente.
Ceux qui prient, ne demandent rien à personne: ils sont aggressés, insultés, bouculés. On dirait d'après votre compte-rendu que les forces de l'ordre interviennent pour séparer deux bandes également aggressives: c'est faux. Une manifestation légalement déclarée est empêchée par les staliniens pro-avortement, pour qui il n'existe qu'une liberté d'expression, la leur.
Les pouvoirs publics comptent sur la terreur gauchiste pour faire cesser ces prières publiques qui les gênent plus qu'on pourrait le croire.
J Duport
Grenoble (capitale de l'avortement, hélas)
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