Voici un article du 3 mars dernier, paru dans Le Figaro : Les traumatismes à retardement de l'avortement.
Extraits : Au premier coup d'œil dans cet appartement parisien du XVe arrondissement, on se croirait dans l'intimité d'une famille sans histoires. Les murs en renvoient pourtant l'écho de centaines, douloureuses. Car ici, au sein de l'association Agapa, des femmes viennent confier ce qui est parfois le traumatisme de toute une vie : leur avortement. [...]
La fréquentation en hausse d'Agapa mais aussi le récent arrêt de la Cour de cassation, qui a reconnu que quels que soient son âge et son poids, un fœtus pouvait être déclaré à l'état civil, traduisent selon certains observateurs un «frémissement» sur la question de l'avortement. «Le débat idéologique qui a opposé les pro-vie et les militants de l'IVG cède aujourd'hui peu à peu la place à une approche beaucoup plus concrète : sans que la loi soit remise en cause par personne, l'avortement est désormais perçu dans ses conséquences psychologiques sur la femme, et la souffrance qu'il induit»...
Lire l'intégralité de l'article ici.
7 mars 2008
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