9 déc. 2006

"Aucune fin ne peut justifier une intervention qui produise la mort et l’élimination d’un être humain”

Alors que la Chambre des Députés de la Nation discute d’un projet de loi pour obliger “à administrer de façon gratuite la pilule contraceptive d’urgence”, l'Institut de Bioéthique des Sciences Médicales de l’Université Catholique argentine, a émis une déclaration dans laquelle elle offre une série de considérations législatives, scientifiques et anthropologiques pour repousser cette initiative, en lançant un appel aux gouvernants pour qu’ils considèrent “comme une valeur précieuse la vie et la liberté responsable de chacun". [...]
Ils affirment aussi que “l'embryon humain est un sujet humain vivant, c’est un individu humain, existant, avec une identité bien définie, différente du père et de la mère. Comme tel, il a le droit à sa propre vie et par conséquent n’importe quelle intervention qui ne soit pas en sa faveur, viole son droit à sa vie”. En ce sens “aucune fin, même si elle est supposée être considérée comme bonne, ne peut justifier une intervention qui produise la mort et l’élimination d’un être humain”. (Fides)

Aucun commentaire: