“De nouveaux défis menacent la vie humaine aujourd’hui. Des crimes comme l’avortement et l’euthanasie sont protégés par les lois et défendus comme de nouveaux droits” se lamente l’archevêque Bernard Moras, Président de la Commission Sanitaire de la Conférence épiscopale indienne.
L’archevêque affirme que la profession médicale n’a plus pour but de protéger la vie et de promouvoir la santé, tandis que la culture de mort qui prend corps laisse entendre que tuer des vies humaines est une solution acceptable pour les problèmes de l’homme.
Mgr Moras a d’autre part souligné le fait que “le caractère sacré de la vie implique son inviolabilité”, et il a cité le cinquième commandement, ‘Tu ne tueras pas’, qui interdit l’homicide. La tradition de l’Eglise a constamment répété la valeur absolue et incontestable de ce commandement, en cherchant à le promouvoir à travers l’éducation, en particulier la formation des consciences. “Il est nécessaire de rétablir le rapport entre vie et liberté, entre liberté et vérité”, a ajouté l’archevêque. “L’encyclique Evangelium Vitae du Pape Jean-Paul II constitue la Grande Charte du mouvement en faveur de la vie, et contient les thèmes principaux soutenus par l’Eglise Catholique par rapport à la vie”.
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