Le règne de l'absurde ou la tragédie de l'hypocrisie :
L'enfant respire, c'est une personne,
L'enfant est assassiné, il ne respire pas,
L'enfant assassiné n'est pas une personne.
Unique solution au sophisme, permettre aux enfants assassinés de respirer...
L'enfant respire, c'est une personne,
L'enfant est assassiné, il ne respire pas,
L'enfant assassiné n'est pas une personne.
Unique solution au sophisme, permettre aux enfants assassinés de respirer...
Le verdict de l'affaire Dewier dont nous vous avions parlé est tombé : le chauffard a été reconnu coupable d'homicide involontaire, suite à une longue procédure et de multiples tergiversations sur le statut de l'enfant. (L'accident a eu lieu en Juillet 2004).
Le cas n'est cependant pas isolé :
En France, une histoire semblable à Montargis a vu la mise en accusation d'une sage femme qui, suite à une erreur professionnelle, a provoqué le décés de l'enfant, or si dans ce cas, les analyses ont reconnu que l'enfant n'avait pas respiré, les juges estiment que "ces éléments ne constituent pas la preuve de ce que l'enfant n'était pas vivant...".
Au Japon, il y quelques jours une affaire identique a conduit à la condamnation à 20 mois avec sursis d'un japonais ayant percuté la voiture d'une femme enceinte dont l'enfant, né par césarienne, est décédé le jour suivant.
Valérie Dewier a annoncé la création d'une association pour la reconnaissance des affaires comme la sienne, et ceci trois ans après l'échec du projet de loi du député Jean-Paul Garraud sur le problème des "Interruptions Involontaires de Grossesse"(via Le Salon Beige).
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