"La mort ne supprime pas la souffrance" est le titre d'un courrier des lecteurs du magazine La Vie sur le deuil de l'enfant à naître.
La lectrice regrette que soit placé sur le même plan le décès d'un bébé par fausse couche et le décès par avortement d'un enfant dont on a décelé le handicap. S'il s'agit bien d'un travail de deuil dans les deux cas, les conséquences ne sont pas les mêmes. Dans le cas d'une fausse couche, le deuil de l'enfant mort in utero est subi ; dans le cas de l'avortement "les parents se sont arrogés le droit de décider de la mort de leur propre enfant". Alors pourquoi faire comme si ces deux décès étaient de même nature ?, s'interroge la lectrice. "Ne serait-il pas plus porteur de vie, de bonheur, de montrer qu'il y a des choix qui sont des impasses ?"
La lectrice refuse "le postulat qui consiste à admettre que le handicap ou la maladie justifierait l'avortement. C'est l'acte d'un couple désemparé, laissé seul face à sa souffrance. Choisir la mort ne supprime pas la souffrance, au contraire. C'est la réponse technique d'une société matérialiste qui refuse de prendre du temps et les moyens d'accompagner les couples".
La lectrice regrette que soit placé sur le même plan le décès d'un bébé par fausse couche et le décès par avortement d'un enfant dont on a décelé le handicap. S'il s'agit bien d'un travail de deuil dans les deux cas, les conséquences ne sont pas les mêmes. Dans le cas d'une fausse couche, le deuil de l'enfant mort in utero est subi ; dans le cas de l'avortement "les parents se sont arrogés le droit de décider de la mort de leur propre enfant". Alors pourquoi faire comme si ces deux décès étaient de même nature ?, s'interroge la lectrice. "Ne serait-il pas plus porteur de vie, de bonheur, de montrer qu'il y a des choix qui sont des impasses ?"
La lectrice refuse "le postulat qui consiste à admettre que le handicap ou la maladie justifierait l'avortement. C'est l'acte d'un couple désemparé, laissé seul face à sa souffrance. Choisir la mort ne supprime pas la souffrance, au contraire. C'est la réponse technique d'une société matérialiste qui refuse de prendre du temps et les moyens d'accompagner les couples".
Via Gènéthique
2 commentaires:
triste de voir autant de connerie
je pense que les femmes qui avortent pour cause medical ne le font pas avec joie.
croyez vous qu ils soit facile de s occuper d un enfant malade qui ne vivera peut etre pas plus d un an dans de grande souffrance.
le jour ou sa vous arrive envoyer nous les videos de souffrance de l enfants et de la mere pleurant a coté du lit du nourrissons tous ca pour laisser un enfant malade naitre. car le pape a dit pas d avortement.( le pape peut raconter des conneries voyé sont discours n allemagne)
l avortement n est peut etre pas la meilleurs des solutins mais pour certain cas elle le reste
Tuer un enfant ne sera JAMAIS une solution...
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