Le 15 août, à l’occasion de la « fête de l’indépendance », le premier ministre indien a demandé à ses compatriotes de mettre fin au « fœticide féminin », dont la pratique, cependant illégale, a privé le pays de dix millions de femmes en vingt ans.
En république française, jusqu’à preuve du contraire, la parité est respectée et, à raison de 200 000 avortements par an depuis 1975 (estimation basse), c’est simplement quelque trois millions de petites filles que la loi Veil a permis de supprimer.
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