Le cardinal Javier Lozano Barragan a déclaré lundi que les parlementaires catholiques avaient "l'obligation morale" de s'opposer à la légalisation de l'euthanasie... Suite aux vives polémiques relancées par le cas Piero Walby
L'euthanasie "est et reste un parcours de mort", a déclaré à l'agence Ansa le cardinal mexicain Javier Barragan, président du conseil pontifical pour la santé. Face aux tentatives de légaliser la "mort douce", les parlementaires catholiques "ont l'obligation morale d'exposer la position de l'Eglise et de l'Evangile en rappelant que l'euthanasie est un assassinat", a-t-il estimé.
"Ils doivent toujours exprimer la pensée catholique dans les instances compétentes, selon les règles et les procédures démocratiques", a souligné le prélat, précisant que "l'Eglise propose une doctrine mais ne l'impose jamais". On appelle euthanasie "toute action ou omission destinée à provoquer la mort d'un malade en phase terminale", y compris l'arrêt de l'hydratation ou de l'alimentation du patient, a estimé le prélat.
"Pour l'Eglise cela équivaut à un assassinat pur et simple", a-t-il conclu.
"Ils doivent toujours exprimer la pensée catholique dans les instances compétentes, selon les règles et les procédures démocratiques", a souligné le prélat, précisant que "l'Eglise propose une doctrine mais ne l'impose jamais". On appelle euthanasie "toute action ou omission destinée à provoquer la mort d'un malade en phase terminale", y compris l'arrêt de l'hydratation ou de l'alimentation du patient, a estimé le prélat.
"Pour l'Eglise cela équivaut à un assassinat pur et simple", a-t-il conclu.
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