Zenit se fait l'écho de ces assureurs Suisses qui accordent des réductions de 10 à 40% aux assurés qui renoncent à l'avortement et à la fécondation in vitro, ainsi qu'au diagnostic prénatal. Des milliers de personnes ont signé ces contrats particuliers.
Ce sont bien 5 caisses de maladie suisses qui ont conclu depuis 2004 un accord avec l'association « Aide suisse pour la mère et l'enfant », une association contre l'avortement, indique la revue de presse de la fondation Jérôme Lejeune (www.genethique.org).
Le gouvernement Suisse a rejeté la motion d'un conseiller du parti ouvrier populaire qui voulait interdire ces pratiques.
2 commentaires:
Et que dire de ces gens qui donnent la vie en sachant pertinement que leur enfant va mourir dans d'atroces souffrances? Sans pouvoir se défendre bien sûr.
Jésus révient?
Je crois que vous vous trompez de débat. La question est de savoir si, le foetus étant un être humain, on peut le tuer quand même parce que la mère le veut ou qu'elle y est forcée. La réponse est non car ceci s'appelle un meurtre...
La maladie a toujours existé, elle est partiez intégrante de notre humaine condition. Vouloir supprimer la maladie est la plus noble des causes et médecin est une magnifique vocation. Cependant, on observe que l'avortement devient un moyen de tuer la maladie en...tuant le malade! Et ceci n'est pas ne situation saine pour une société car cela s'appelle de l'eugénisme (les parents, grâce aux diagnostics pré implantatoires, aux IMG, aux echographies, peuvent décider de ne garder que des enfants sains. Les autres passent à la poubelle au sens premier de cette expression).
Décider que la vie d'un enfant malade ne vaut pas la peine d'être vécue (et ce à la place de l'enfant) doit nous paraitre présomptueux. Les plus beaux sourires que j'ai vu, ce sont des enfants trisomiques qui me les ont donné! Il faut laisser sa chance au malade.
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