Au détriment de la cause de ceux qui promeuvent le développement d'une vraie prise en charge des personnes en fin de vie (rappelons que la "vie" s'arrête à la mort et non à l'approche de la mort), les auteurs de la série ne se privent pas de faire la promotion d'un acte interdit et surtout déjà assez mis en avant par la presse pour que besoin soit de "courageusement" se faire le héraut d'un "nouveau combat pour les droits humains".
Voici ce qu'en dit Paul Lombard sur son blog :
"Ces deux jeunes étudiants portent à eux deux la cause de l'euthanasie active. Allant au delà de toute éthique médicale telle qu'on l'enseigne actuellement (nous ne sommes pas la Suisse où il existe des médecins spécialisés dans ce traitement radical) ces deux idiots qui semblent ne pas être encadrés imposent leur morale à deux sous et leur droit à décider au delà de la loi, que sans doute, là encore, il faut trouver scélérate."
"Le pire arrive quand le commissaire s'entretient de l'affaire avec le juge d'instruction (bien sûr, ces deux fonctionnaires de justice ne sauraient faire autre chose que ce commande l'éthique de leur métier) et décident de classer l'affaire, sans plus se demander d'où est venue la morphine. Et nos imprudents se retrouvent libres là où ils auraient encourus jusqu'à 20 ans de prison. Promotion de l'euthanasie, décision arbitraire du juge d'instruction qui n'a pas de compte à rendre (voyez combien de temps il faut pour que le juge Burgaud se prenne un petit avertissement après avoir détruit tout un quartier) ce feuilleton de grande écoute ne se prive pas d'essayer d'influencer la société."
"Mais de quel droit ?"
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