Libération revient sur la hausse de l’utilisation de la pilule du lendemain chez les adolescentes, (légalisée en France afin de limiter le nombre des IVG...).
Selon la Drees, 1/3 des jeunes filles de 15 à 24 ans ont déjà utilisé la pilule du lendemain (qui est abortive). Parallèlement le taux d’avortement continue à augmenter chez les jeunes. La journaliste interroge Nathalie Bajos, socio-démographe, sur la raison de ces deux augmentations conjointes. Pour Nathalie Bajos, « les normes sociales sur les conditions d’une bonne maternité ayant évolué, les femmes auront davantage recours à l’Interruption Volontaire de Grossesse (IVG). On le voit depuis 30 ans, le taux d’IVG est relativement stable, alors que le nombre de grossesses non prévues a baissé ». Autrement dit, les femmes ont de plus en plus souvent recours à l'avortement, en cas de grossesse non prévue.
Selon la Drees, 1/3 des jeunes filles de 15 à 24 ans ont déjà utilisé la pilule du lendemain (qui est abortive). Parallèlement le taux d’avortement continue à augmenter chez les jeunes. La journaliste interroge Nathalie Bajos, socio-démographe, sur la raison de ces deux augmentations conjointes. Pour Nathalie Bajos, « les normes sociales sur les conditions d’une bonne maternité ayant évolué, les femmes auront davantage recours à l’Interruption Volontaire de Grossesse (IVG). On le voit depuis 30 ans, le taux d’IVG est relativement stable, alors que le nombre de grossesses non prévues a baissé ». Autrement dit, les femmes ont de plus en plus souvent recours à l'avortement, en cas de grossesse non prévue.
Via Genethique
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