Généthique nous rapporte que le groupe international de gynécologues et obstétriciens catholiques Mater Care International (MCI) organise, du 11 au 15 octobre au Vatican, une session de travail sur le thème : "La dignité de la maternité et la pratique de l’obstétrique et de la gynécologie. Un défi au statu quo".
Ces quarante dernières années ont permis "une profonde connaissance du caractère humain de l’enfant à naître grâce au développement du foetus suivi à travers l’écographie", explique MCI qui déplore que désormais "les obstétriciens considèrent la maternité et les enfants à naître comme une chose pouvant être arbitrairement détruite".
Ces quarante dernières années ont permis "une profonde connaissance du caractère humain de l’enfant à naître grâce au développement du foetus suivi à travers l’écographie", explique MCI qui déplore que désormais "les obstétriciens considèrent la maternité et les enfants à naître comme une chose pouvant être arbitrairement détruite".
Les gynécologues et obstétriciens catholiques pointent du doigt entre les pays développés et sous-développés. D'un côté, "la médecine moderne et l’attention des obstétriciens ont permis d’éradiquer presque complètement la mortalité maternelle et de réduire fortement la mortalité périnatale", de l'autre "les décès pendant la grossesse et au moment de la naissance ont atteint des chiffres sans précédent". Le MCI constate qu'aujourd'hui l’avortement est au centre des programmes internationaux de santé. Aussi bien dans les pays développés, où l’avortement est promu comme une solution aux problèmes sociaux que dans les pays en voie de développement, où les programmes de santé - désignés par l’euphémisme "programmes de santé reproductive" - , prévoient de réduire la mortalité maternelle en supprimant l’enfant à naître. Pour le MCI, "ces politiques naissent d’une pauvreté de pensée et d’une pauvreté concrète, mais en dernier ressort, d’un manque d’amour".
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