Une mention d’exception autorisant l’avortement dans les cas où la grossesse met la vie de la mère en danger a été ajoutée cette semaine dans le code pénal du Timor oriental. La nouvelle loi stipule qu’il est "légitime" de préférer la santé maternelle à la vie d’un enfant non-né. Outre cette condition d’urgence, les législateurs ont posé comme condition préalable l’accord de trois médecins et des parents. Cette clause restant irréalisable dans les régions rurales où les médecins sont rares, les sages-femmes seront habilitées à pratiquer les interruptions de grossesse.
L’Eglise catholique, prédominante au Timor oriental, a marqué dès le départ son opposition à une telle mesure. Le 15 avril, Monseigneur Alberto Ricardo da Silva et Monseigneur Basilio do Nascimento of Boucau avaient fait paraître une lettre pastorale réaffirmant fermement "la nature sacrée et inviolable de la vie humaine, de la conception à la mort". Elle rappelait que, si tel est l’enseignement de l’Eglise, il en est de même pour la culture du Timor oriental. Les deux évêques ont par ailleurs rencontré plusieurs membres du gouvernement dans le courant du mois de mars.
Le mois dernier, le Catholic Family and Human Rights Institute a rapporté que plusieurs organisations non-gouvernementales (ONG), soutenues par les Nations-Unies, faisaient pression en faveur de l’avortement depuis longtemps.
L’Eglise catholique, prédominante au Timor oriental, a marqué dès le départ son opposition à une telle mesure. Le 15 avril, Monseigneur Alberto Ricardo da Silva et Monseigneur Basilio do Nascimento of Boucau avaient fait paraître une lettre pastorale réaffirmant fermement "la nature sacrée et inviolable de la vie humaine, de la conception à la mort". Elle rappelait que, si tel est l’enseignement de l’Eglise, il en est de même pour la culture du Timor oriental. Les deux évêques ont par ailleurs rencontré plusieurs membres du gouvernement dans le courant du mois de mars.
Le mois dernier, le Catholic Family and Human Rights Institute a rapporté que plusieurs organisations non-gouvernementales (ONG), soutenues par les Nations-Unies, faisaient pression en faveur de l’avortement depuis longtemps.
Lu sur Généthique
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