Après la légalisation en Colombie de l'avortement en cas de viol, d'inceste, de malformations du foetus ou de danger pour la mère par la Cour constitutionnelle colombienne, l'Eglise avait fortement réagi : Cette décision nous parait lamentable. Nous avons toujours considéré qu'aucune de ces trois raisons ne justifie l'élimination d'un enfant (...) Nous continuerons à défendre la vie de l'enfant, comme la vie de la mère et l'invalidité de l'avortement (Source : le Salon Beige).
Mais l'Eglise en Colombie menace menaçant aussi d'excommunier ceux qui pratiquent un avortement, les magistrats de la Cour constitutionnelle de Colombie ont demandé vendredi à la hiérarchie catholique de mettre un terme à ces menaces. Jeudi le cardinal Pedro Rubiano, archevêque de Bogotá, avait déclaré : «Tous ceux qui pratiquent un avortement, même protégés par la loi, seront automatiquement excommuniés. La peine concernera également ceux qui les aident à avorter.»
13 mai 2006
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