On vous avait déja parlé du seul hôpital d'une région (le Nouveau-Brunswick) au Canada à pratiquer des avortements et qui arrêtera cetta activité en juin 2006.
Nous citons donc quelques réactions tirées d'un article d'Acadie.net (lisez le en entier, il est court et vous permettra de mieux comprendre la situation):
«Lorsqu'on restreint l'accès à l'avortement, il en résulte des situations pénibles » de dire la présidente du Conseil consultatif sur la condition de la femme au N.-B., Ginette Petitpas-Taylor.
«Le manque d'accès porte atteinte à la sécurité des femmes. Comme l'a dit la Cour suprême du Canada en 1988, forcer une femme à mener le fœtus à terme à moins qu'elle ne remplisse des critères indépendants de ses propres besoins, est une ingérence profonde à l'égard de son corps. La décision de poursuivre ou d'interrompre une grossesse doit être prise par la femme enceinte, ce qui veut dire que l'option de l'avortement doit lui être disponible. »
D'autre part, d'après l'article, le Conseil consultatif incite le gouvernement provincial à faire en sorte que les femmes de toutes les régions de la province aient accès à des services d'avortement sans approbation de deux médecins au moins et que tout médecin puisse pratiquer un avortement.
Notre commentaire: cette prise de position est grave et va, une fois de plus, à l'encontre de la vie. On peut remarquer, qu'à aucun moment, il n'est question du bébé qui n'a rien demandé mais qui existe et que l'on va tuer. On assiste, et ce dans toutes les sociétés occidentales, au fait qu'on établisse une hierarchie entre la vie de l'enfant à naître et celle de la mère. Or il n'y a pas de hierarchie: tous deux sont des êtres humains dont nous devons préserver la vie.
Il faut promouvoir l'amour, la fidélité et une chasteté selon son état.
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