C’est par ces mots que le collège des Avocats d’Argentine a qualifié l’avortement. Dans une déclaration signée par les docteurs Enrique V. del Carril et Guillermo Lipera, les avocats réclament l’attention des citoyens sur l’intention d’introduire la dépénalisation de l’avortement dans la législation pénale du pays, « contre les préceptes constitutionnels clairs et les principes réunis dans la tradition juridique concernant les droits de l’homme avant sa conception, incorporés dans le Code Civil ».
L’avortement est « une forme d’homicide puisqu’il implique d’interrompre volontairement la vie d’une personne, ce qui est d’autant plus grave que cet attentat se réalise alors que la victime n’a pas la capacité de se défendre ».
Selon les Avocats, « il ne s’agit pas d’une question religieuse ni d’une discussion entre progressistes et conservateurs. Il ne s’agit de rien d’autre et de rien de moins que de défendre le droit à la vie ». Par conséquent « une société qui ne respecte pas la vie quelque soit sa forme, est victime du pire sous-développement, le sous-développement moral, même si elle peut sembler riche en biens matériels ».
L’avortement est « une forme d’homicide puisqu’il implique d’interrompre volontairement la vie d’une personne, ce qui est d’autant plus grave que cet attentat se réalise alors que la victime n’a pas la capacité de se défendre ».
Selon les Avocats, « il ne s’agit pas d’une question religieuse ni d’une discussion entre progressistes et conservateurs. Il ne s’agit de rien d’autre et de rien de moins que de défendre le droit à la vie ». Par conséquent « une société qui ne respecte pas la vie quelque soit sa forme, est victime du pire sous-développement, le sous-développement moral, même si elle peut sembler riche en biens matériels ».
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