Nous voyons réapparaitre ce contresens absolu de vouloir vaincre la maladie en supprimant le malade! Il faudrait un Molière pour ridiculiser ces gens qui discutent gravement autour d'un malade. "Quel est cet impertinent qui ne se laisse pas guérir, qui ose résister à notre art? Supprimons-le!" La médecine devient folle si elle s'attaque au patient au lieu de lutter contre la maladie. Le patient, il faut toujours être de son côté, toujours."
23 mai 2006
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