Enfin, le dernier des articles d'un document du Saint-Siège à propos de l'avortement provoqué:
18. Nous savons quelle gravité peut revêtir pour certaines familles et pour certains pays le problème de la régulation des naissances : c’est pour cela que le dernier Concile, puis l’encyclique Humanae vitae, du 25 juillet 1968, ont parlé de « paternité responsable (24) ». Ce que nous voulons redire avec force, comme l’ont rappelé la Constitution conciliaire Gaudium et spes, l’encyclique Populorum progressio, et d’autres documents pontificaux, c’est que jamais, sous aucun prétexte, l’avortement ne peut être utilisé ni par une famille ni par l’autorité politique comme un moyen légitime de régulation des naissances (25). L’atteinte aux valeurs morales est toujours pour le bien commun un mal plus grand que n’importe quel inconvénient d’ordre économique ou démographique.
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