Hello Bartalin, Je suis choqué par cette image. Je crois fermement que la Vie sera mieux défendu par des chrétiens témoins de l'Amour de Dieu pour les hommes que par des images qui sont objectivement choquantes. Jean-Paul II disait : "ne les laissez pas seules !" en parlant des femmes enceintes en situation de détresse. Notre action ne devrait-elle pas privilégier cette voie ? Bon courage pour ton initiative, Renaud
Il y a du vrai dans ce que vous dites. Rassurez-vous, je ne compte pas faire de ce blog un catalogue des horreurs de l'avortement. Cependant, je crois que ponctuellement, de telles images peuvent aider à faire saisir la réalité de cet acte : un meurtre barbare.
Je ne vous rejoins pas par contre pour la suite. Bien sûr l'avortement est un traumatisme pour les femmes et se nourrit de leur détresse, mais il ne faut pas perdre de vue que les premières victimes sont les bébés. C'est pour cela et pour cela seulement que l'avortement est une atrocité. C'est cela qu'il ne faut pas oublier. Il faut mettre les enfants au coeur du combat, non les mères, même si elles sont aussi victimes. Ne considérer que les mères c'est prendre une pente dangereuse.
Je comprends bien votre réponse. Je préciserais alors ceci : pour en arriver à l'acte, il a fallu d'abord séparer affectivement la mère de son enfant. L'acte serait évité si la mère retrouvait confiance en son amour pour son enfant et en tirait les conséquences légitimes. En ce sens (croire que l'amour pour son enfant dépasse les circonstances), le chrétien peut donner un témoignage de foi en l'amour, à commencer par l'amour de Dieu. Bien d'accord sur les victimes premières, mais on ne sauvera pas les enfants malgré leurs mamans.
Hello, Cette image, en plus de risquer de choquer, peut traumatiser. En cas de fausse couche, on obtient la même chose. Ce genre d'image me rappelle trop fortement ce passage douloureux que nous avons vécu, ma femme et moi. Ni notre bébé, ni nous, n'avions choisi d'être confronté à cette mort et à cette image. Mais cela s'est produit ! Alors je n'apprécie pas du tout que d'autres, sous différents prétextes, me remette sous les yeux un corps similaire à notre bébé que nous avons perdu. Bonne continuation quand-même. Emmanuel
"Alors je n'apprécie pas du tout que d'autres, sous différents prétextes, me remette sous les yeux un corps similaire à notre bébé que nous avons perdu. "
Je comprends votre douleur. Mais justement, ce que je m'efforce de faire ici, c'est de faire prendre conscience de l'horreur de l'avortement. J'essaie de sauver des bébés, j'essaie. Vous ne m'en voudrez quand même pas?
je suis moi même enceinte a cause d'un préservatif qui a éclaté. Je me fais avorter demain, le jour de mon anniversaire, le jour de mes 19ans. Je ne peut pas me perméttre de garder cet enfant alors que je suis encore à l'école et que je vis encore chez mes parents. Je trouve cette image répugnante, il ne faut pas croire que l'avortement est fais par plaisir, bien au contraire..
Moi jsui dacor ak anonyme car il ne fau pa croire ke c par plaisir d cometre et d participer a ce genre dimage Mai pluto soutenir les maman afin d ne pa reproduir cet acte dja si dificile a dcider le soutien es tt d mem imp et il ne fau pa remetr tte la faute a la maman
Merci de votre témoignage poignant. Vous avez raison de rappeler que l'avortement est souvent un non choix, et qu'il est la plupart du temps imposé car aucune issue n'est envisagée.
En aucun cas nous nous permettrions de condamner les femmes ayant ce choix à faire. D'une part, qui peut prétendre être en capacité de juger quelqu'un d'un tel acte ? D'autre part, c'est bien l'acte d'avorter en lui-même que nous dénonçons, l'accusant d'être illégitime. Au nom de quoi, de qui, de quel principe tout puissant l'homme se permet-il d'ôter la vie ou de la donner ?
Pour ce qui est du non-choix d'avorter dont vous nous faîtes part, c'est un fait bien réel. Dans une société où la solution de facilité est d'éliminer le problème plutôt que de le résoudre, la naissance de la vie par une grossesse est vue comme une impasse, une source d'ennuis, une fatalité. L'Amour est dénaturé et les moyens de contraceptions sont vendus sans information des risques qu'ils encourrent. La tare d'avoir un enfant est tellement mise en exergue que la solution la plus logique devient celle d'avorter. Dans cet amalgame de contradictions, où est notre choix ? Où est notre liberté ?
Il existe beaucoup d'associations qui viennent en aide aux jeunes filles qui se retrouvent dans des conditions terribles face à un choix arbitraire. Ces associations ont le mérite de pouvoir soutenir et conseiller les femmes dans leur choix sans leur imposer les pressions infligées par la société.
Voici un lien qui pourra, je l'espère, vous aider pendant cette épreuve :
8 commentaires:
Hello Bartalin,
Je suis choqué par cette image.
Je crois fermement que la Vie sera mieux défendu par des chrétiens témoins de l'Amour de Dieu pour les hommes que par des images qui sont objectivement choquantes.
Jean-Paul II disait : "ne les laissez pas seules !" en parlant des femmes enceintes en situation de détresse. Notre action ne devrait-elle pas privilégier cette voie ?
Bon courage pour ton initiative,
Renaud
Il y a du vrai dans ce que vous dites. Rassurez-vous, je ne compte pas faire de ce blog un catalogue des horreurs de l'avortement. Cependant, je crois que ponctuellement, de telles images peuvent aider à faire saisir la réalité de cet acte : un meurtre barbare.
Je ne vous rejoins pas par contre pour la suite. Bien sûr l'avortement est un traumatisme pour les femmes et se nourrit de leur détresse, mais il ne faut pas perdre de vue que les premières victimes sont les bébés. C'est pour cela et pour cela seulement que l'avortement est une atrocité. C'est cela qu'il ne faut pas oublier. Il faut mettre les enfants au coeur du combat, non les mères, même si elles sont aussi victimes. Ne considérer que les mères c'est prendre une pente dangereuse.
Merci pour vos encouragements.
Dans le Christ
Bartalin
Je comprends bien votre réponse.
Je préciserais alors ceci : pour en arriver à l'acte, il a fallu d'abord séparer affectivement la mère de son enfant. L'acte serait évité si la mère retrouvait confiance en son amour pour son enfant et en tirait les conséquences légitimes.
En ce sens (croire que l'amour pour son enfant dépasse les circonstances), le chrétien peut donner un témoignage de foi en l'amour, à commencer par l'amour de Dieu.
Bien d'accord sur les victimes premières, mais on ne sauvera pas les enfants malgré leurs mamans.
Hello,
Cette image, en plus de risquer de choquer, peut traumatiser. En cas de fausse couche, on obtient la même chose. Ce genre d'image me rappelle trop fortement ce passage douloureux que nous avons vécu, ma femme et moi.
Ni notre bébé, ni nous, n'avions choisi d'être confronté à cette mort et à cette image. Mais cela s'est produit ! Alors je n'apprécie pas du tout que d'autres, sous différents prétextes, me remette sous les yeux un corps similaire à notre bébé que nous avons perdu.
Bonne continuation quand-même.
Emmanuel
"Alors je n'apprécie pas du tout que d'autres, sous différents prétextes, me remette sous les yeux un corps similaire à notre bébé que nous avons perdu.
"
Je comprends votre douleur. Mais justement, ce que je m'efforce de faire ici, c'est de faire prendre conscience de l'horreur de l'avortement. J'essaie de sauver des bébés, j'essaie. Vous ne m'en voudrez quand même pas?
je suis moi même enceinte a cause d'un préservatif qui a éclaté. Je me fais avorter demain, le jour de mon anniversaire, le jour de mes 19ans. Je ne peut pas me perméttre de garder cet enfant alors que je suis encore à l'école et que je vis encore chez mes parents. Je trouve cette image répugnante, il ne faut pas croire que l'avortement est fais par plaisir, bien au contraire..
Moi jsui dacor ak anonyme car il ne fau pa croire ke c par plaisir d cometre et d participer a ce genre dimage
Mai pluto soutenir les maman afin d ne pa reproduir cet acte dja si dificile a dcider le soutien es tt d mem imp et il ne fau pa remetr tte la faute a la maman
Bonjour Anonyme,
Merci de votre témoignage poignant. Vous avez raison de rappeler que l'avortement est souvent un non choix, et qu'il est la plupart du temps imposé car aucune issue n'est envisagée.
En aucun cas nous nous permettrions de condamner les femmes ayant ce choix à faire.
D'une part, qui peut prétendre être en capacité de juger quelqu'un d'un tel acte ?
D'autre part, c'est bien l'acte d'avorter en lui-même que nous dénonçons, l'accusant d'être illégitime. Au nom de quoi, de qui, de quel principe tout puissant l'homme se permet-il d'ôter la vie ou de la donner ?
Pour ce qui est du non-choix d'avorter dont vous nous faîtes part, c'est un fait bien réel.
Dans une société où la solution de facilité est d'éliminer le problème plutôt que de le résoudre, la naissance de la vie par une grossesse est vue comme une impasse, une source d'ennuis, une fatalité. L'Amour est dénaturé et les moyens de contraceptions sont vendus sans information des risques qu'ils encourrent. La tare d'avoir un enfant est tellement mise en exergue que la solution la plus logique devient celle d'avorter. Dans cet amalgame de contradictions, où est notre choix ? Où est notre liberté ?
Il existe beaucoup d'associations qui viennent en aide aux jeunes filles qui se retrouvent dans des conditions terribles face à un choix arbitraire. Ces associations ont le mérite de pouvoir soutenir et conseiller les femmes dans leur choix sans leur imposer les pressions infligées par la société.
Voici un lien qui pourra, je l'espère, vous aider pendant cette épreuve :
http://www.avortementivg.com/pages/Aide_aux_femmes-461800.html
En espérant avoir pu vous éclairer sur vos questionnement, n'hésitez pas à répondre nous sommes là pour discuter et comprendre,
Bon courage !
En Jésus par Marie,
Hieraaetus
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