20 mars 2006

Quand la pilule du lendemain devient banale...

Un article de Destination Santé annonce qu'en France en 2005, près de 14% des femmes sexuellement actives de 15 à 54 ans déclarent avoir recouru à la contraception d'urgence au moins 1 fois dans leur vie. Contre seulement 8,4% en 2000.

Le Dr Gabriel André, gynécologue obstétricien à Strasbourg, commente : "Et cela n'est pas forcément un mal" nous confie-t-il. "Non seulement la contraception d'urgence ne présente aucun risque, mais en outre elle peut nous permettre de faire diminuer le nombre d'interruptions volontaires de grossesses (IVG), encore très élevé dans notre pays". Belle illustration du sentiment de culpabilité ou de malaise face à l'avortement ! Pourquoi toujours cette volonté de réduire le nombre d'IVG, acte médical comme un autre ?

Or cette pilule est aussi abortive, la plupart du temps. A lire, ce bref rappel sur cette pilule mortifère sur le site des Survivants.

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