Plutôt que d'essayer de nous faire culpabiliser pour le sort des femmes qui avortent clandestinement, et plutôt que d'accuser les pro-vie de ne pas prendre un compte leurs souffrances, les défenseurs de l'avortement devront bien un jour ou l'autre affronter la vérité en face : l'avortement ne supprime aucune souffrance, il les multiplie !
Pour preuve supplémentaire et pour ceux qui en doute encore, faites connaissance avec Teresa Burke, psychotérapeute américaine spécialiste du syndrome post-abortif, qui vient de livrer un nouvel interview, très éclairant mais surtout attristant, sur le sujet.
En vrac voila quelques conséquences d'un avortement chez une femme tant sur le plan psychologique que physique que Teresa Burke a mis en évidence : 55% des femmes qui ont avorté souffrent de cauchemars ayant pour thème leur avortement, 58% ont des pensées suicidaires qu'elles relient à leur avortement, 79% se sentent coupables, 63% sont inquiètes pour leurs futures grossesses.
Bref, quelle joie ce serait de voir son récent ouvrage, L'angoisse interdite : la douleur muette de l'avortement, un jour traduit en français pour que la vérité s'étale enfin au grand jour et que les femmes françaises aient enfin le droit (puisque la société aime tant ce mot !) de savoir les risques qu'elles courent et qu'on leur cache.
7 mars 2006
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1 commentaire:
apparement t aime pas l idee de droit!
c est vrai ca serait tellement mieux si tout le monde etait obliger d etre catholique !
si tous on pensait comme vous obliger sinon je sais pas on te force a ecouter tout les discours du papes
jean paul 2 par exemple ( oui celui qui avait bennis pinnochet pour memoire
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