Alors qu'un projet de loi est discuté au parlement britannique pour décriminaliser le suicide-assisté dans certains cas, une étude publiée le 25 mars dans Palliative Medecine, indique que deux tiers des médecins anglais seraient contre la légalisation de l'euthanasie et du suicide assisté au Royaume-Uni (82% contre l'euthanasie et 62% contre le suicide-assisté)
Un médecin généraliste a affirmé que "la plupart des médecins sont opposés à un changement de la loi. La confiance entre médecin et patient est cruciale. Cette étude devrait rassurer les gens sur le fait que les médecins sont à l'écoute des patients et agissent en adéquation avec la loi pour traiter leurs symptômes".
L'étude révèle que les personnes travaillant dans les unités de soins palliatifs sont proportionnellement moins favorables (moins de 1/10) à l'euthanasie que les médecins généralistes. D'ailleurs, "les cas d'euthanasie sont très rares au Royaume-Uni" déclare le Professeur Clive Seale du Centre des Sciences de la Santé à l'Université Queen Mary de Londres.
17,1% des médecins ayant répondu au sondage, avaient déjà, en accord avec les proches, administré des traitements en fin de vie destinés à soulager les patients, en sachant qu'ils pouvaient aussi entraîner une mort plus rapide. Il s'agissait de cas relevant du "double effet".
Des estimations communiquées par la Chambre des Lords indiqueraient que 300 000 personnes meurent chaque année en Angleterre en ayant besoin de soins palliatifs mais n'y ont pas accès. Aussi, "développer de bons traitements et soins en fin de vie pour tout ceux qui en ont besoin devrait être le point sur lequel concentrer nos énergies en tant que pays".
Un médecin généraliste a affirmé que "la plupart des médecins sont opposés à un changement de la loi. La confiance entre médecin et patient est cruciale. Cette étude devrait rassurer les gens sur le fait que les médecins sont à l'écoute des patients et agissent en adéquation avec la loi pour traiter leurs symptômes".
L'étude révèle que les personnes travaillant dans les unités de soins palliatifs sont proportionnellement moins favorables (moins de 1/10) à l'euthanasie que les médecins généralistes. D'ailleurs, "les cas d'euthanasie sont très rares au Royaume-Uni" déclare le Professeur Clive Seale du Centre des Sciences de la Santé à l'Université Queen Mary de Londres.
17,1% des médecins ayant répondu au sondage, avaient déjà, en accord avec les proches, administré des traitements en fin de vie destinés à soulager les patients, en sachant qu'ils pouvaient aussi entraîner une mort plus rapide. Il s'agissait de cas relevant du "double effet".
Des estimations communiquées par la Chambre des Lords indiqueraient que 300 000 personnes meurent chaque année en Angleterre en ayant besoin de soins palliatifs mais n'y ont pas accès. Aussi, "développer de bons traitements et soins en fin de vie pour tout ceux qui en ont besoin devrait être le point sur lequel concentrer nos énergies en tant que pays".
Lu sur Gènéthique
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