"Obama donne le feu vert pour la recherche sur l'embryon"
C'est le titre donné par le Figaro à son article consacré à la légalisation de la recherche embryonnaire du président américain. Il est expliqué en quoi la recherche sur les cellules souches embryonnaires pourraient permettre de traiter des maladies aujourd'hui encore incurables. Cette intention, plutôt bonne puisque permettant de guérir, passe aux yeux du public comme une opportunité d'avancer dans la médecine. Mais la fin justifie-t-elle les moyens ? Quel est l'enjeu économique de cette recherche ?
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Le président Obama a signé lundi un décret autorisant le financement public de la recherche sur les cellules souches embryonnaires.
Conformément à ses promesses, Barack Obama a signé lundi le décret autorisant le financement par l'État fédéral de la recherche sur les cellules souches embryonnaires, interdit par son prédécesseur, George W. Bush, depuis le 9 août 2001. «Nous allons apporter le changement que tellement de scientifiques et de chercheurs, tellement de médecins, tellement de malades et leurs proches ont espéré au cours des huit dernières années : nous allons lever l'interdiction faite à l'Etat fédéral de financer la recherche pleine de promesses sur les cellules souches embryonnaires», a déclaré le président américain, qui s'est dans le même temps élevé contre le clonage humain qu'il a qualifié de «dangereux et profondément mauvais».
Depuis près de huit ans en effet, les recherches sur l'embryon ne pouvaient être effectuées qu'avec l'aide de fonds privés. Seuls les travaux sur les cellules souches extraites d'organismes adultes, qui ne posent pas de problèmes éthiques mais sont bien plus difficiles à obtenir, pouvaient recevoir des fonds publics.
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